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Quelques mots d'explication...
Lorsque des murs forment un angle, ils constituent parfois un lieu propice aux hommes qui souhaitent se soulager, dans une certaine discrétion et souvent au profit de l’obscurité. Les endroits ainsi régulièrement visités à cette fin subissent des dommages immédiats mais les odeurs quant à elles vont perdurer plus longtemps et créer de réels embarras. Pour palier à ce désagrément visuel et olfactif les propriétaires ont fait construire des « empêche-pipi », parfois appelés « casse-pipi », borne sanitaire, « pissepala » ou encore "éclabousseurs de chaussettes". Il s’agit d’une petite construction de forme conique ou arrondie, adossée aux murs pour combler l’angle incriminé. En général elle est composée de briques, de gravats cimentés, de moellons ou de pierres taillées avec plus ou moins de soins. Dans certains cas l’empêche-pipi est constitué d’une grille en métal qui barre l’accès au coin. Les « pissepala » de ce type sont volontiers enrichis de piques, de lames et de toutes sortes d’excroissances lancéolées censées repousser l’importun. La forme du « casse-pipi « et les irrégularités volontairement réalisées sur sa surface ont pour effet de créer des éclaboussures en direction du fauteur de trouble qui verra son pantalon arrosé par sa propre urine. Si l’existence de ce dispositif est sans doute assez ancienne, la plupart des empêche-pipi encore visibles aujourd’hui ne remontent pas au-delà du 19e siècle et sont rarement plus récents que la première moitié du 20e siècle.
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