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Quelques mots d'explication...
Le pain est l’aliment de base depuis bien longtemps, pourtant la possession d’un four individuel ne sera une réalité qu’à partir du 19e siècle. Sous l’Ancien Régime, à l’exception des exploitations d’origine seigneuriale ou ecclésiastique, la jouissance d’un four à pain fait partie des droits du seigneur des lieux qui va l’installer au profit d’une communauté en échange d’une taxe sur son usage. La règle s’est assouplie assez tôt durant le 18e siècle, tant et si bien que des fours vont se construire progressivement un peu partout. En Hesbaye brabançonne, le four à pain du 18e siècle s’installe préférentiellement à l’écart du logis, pour éviter la propagation d’un incendie. Il s’agit d’une construction isolée qui comprend le four et un autre local qui lui est attenant, plus grand et couvert par sa propre toiture, le fournil. Il sert de boulangerie avant la lettre. C’est là qu’est confectionnée la pâte, que sont entreposés la réserve de farine et les fagots. La mise à feu du four se faisait en moyenne une fois par semaine. Elle était destinée à la cuisson des pains, des tartes ou des gâteaux, mais aussi à la dessiccation de fruits ou à la confection de conserves. Il n’était pas rare que le fournil abrite des saisonniers dans ses combles. À l’entame du 19e siècle, l’usage du four s’individualise un peu plus et est admis dans une dépendance de la maison. Dans certaines régions du sud de la Wallonie, il sera parfois intégré à une pièce secondaire de l’habitat ou bien carrément, à un angle de la cuisine.
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